5 raisons puissantes de développer l’intelligence émotionnelle de ton enfant au plus vite
Comment préparer ton enfant à réussir
dans un monde où gérer ses émotions, C’est vital !
90% des performances professionnelles exceptionnelles viennent de l’intelligence émotionnelle. Pas du QI. L’intelligence émotionnelle, c’est quoi exactement ? Daniel Goleman l’explique simplement : c’est savoir reconnaître ses émotions et celles des autres. Et c’est aussi savoir les gérer.
Concrètement ? C’est ton enfant qui transforme sa colère en capacité de dialogue plutôt qu’en cris, injures et coups. C’est celui qui se relève après un échec. C’est celui qui se fait des vrais amis.
Aujourd’hui, nos enfants jonglent entre les écrans, la pression à l’école et des relations compliquées. Développer leur intelligence émotionnelle, ce n’est plus un bonus. C’est indispensable.
Tu cherches des solutions concrètes pour aider ton enfant ? L’intelligence émotionnelle, c’est LA clé.
Découvrons ensemble pourquoi cette compétence va changer la vie de ton enfant. 🧒🏻 Dès maintenant.
1️⃣ L'intelligence Emotionnelle contribue à un quotidien apaisé
Tu en as sans doute déjà fait l’expérience : une crise pour une chaussette mal enfilée, une explosion de colère au moment de partir à l’école, des pleurs sans explication apparente… Chez l’enfant, les émotions prennent souvent toute la place. Et c’est normal : il ne sait pas et ne peut pas encore les accueillir ou les exprimer autrement que par le corps.
C’est là que l’intelligence émotionnelle entre en jeu. Parce que, quand il apprend à reconnaître ce qu’il ressent, à poser des mots dessus, à comprendre ce qui se passe en lui… tout change.
👉 Moins de débordements.
👉 Moins de cris.
👉 Plus de dialogue, même avec les tout-petits.
Il vit ses émotions avec plus de calme, se régulent plus vite, et collaborent plus facilement dans les moments du quotidien : repas, devoirs, coucher… Et le quotidien devient beaucoup plus serein.
2️⃣ L'intelligence Emotionnelle contribue à des relations sociales saines et de qualité
Un enfant qui comprend ce qu’il ressent a aussi plus de facilité à comprendre ce que les autres ressentent. C’est ça, l’empathie. Et c’est une compétence précieuse – à l’école, dans la fratrie, dans les amitiés.
Quand ton enfant sait mettre des mots sur ses émotions, il devient aussi plus attentif à ce que vivent les autres. Il peut dire « tu es triste ? » à un copain qui pleure, être sensible à son expérience et lui offrir son soutien. Ça paraît simple, mais c’est énorme.
Les enfants qui développent leur intelligence émotionnelle ont :
-
des relations plus fluides avec les autres enfants ;
-
moins de conflits (et quand il y en a, ils s’en sortent mieux) ;
-
une meilleure intégration sociale, notamment à l’école.
Et ce n’est pas seulement une question de tempérament : c’est une compétence qui se travaille, jour après jour. Quand on l’aide à reconnaître, exprimer et écouter les émotions, on lui donne les clés pour créer du lien, se faire des amis, coopérer, résoudre des conflits sans violence.
3️⃣ L'Intelligence Emotionnelle nourrit la confiance en soi
Quand un enfant comprend ce qu’il vit en lui-même, il se sent plus fort à l’extérieur. Par exemple, il peut se dire:
- « Là, je suis en colère, mais je sais comment ne pas devenir agressif quand cela m’arrive »
- « J’ai peur, mais je suis capable de me mettre en sécurité »
- « Je suis triste, et c’est OK. Je sais vers qui me tourner pour en parler et me sentir mieux. »
- « Je suis très excité. Mais je sais comment gérer mon énergie débordante. »
Et ça, c’est un vrai levier de confiance en soi. car l’enfant est compétent émotionnellement et dispose de stratégies effectives pour ne pas se laisser enfermer dans son émotions et les comportements qui en découlent.
Il a appris qu’une émotion n’est pas un problème… juste un message à écouter.
🎯 Résultat : il ose plus facilement. Il persévère. Il s’exprime avec plus d’assurance. Et il se connaît mieux.
4️⃣ L'Intelligence Emotionnelle contribue à de meilleures performances scolaires
On ne le dit pas assez, mais un enfant qui se sent bien apprend mieux.
Quand l’enfant est submergé, dépassé, paralysé par ses émotions non exprimées ou irrésolues, il devient incapable d’offrir l’attention, la concentration et l’effort nécessaire aux apprentissages scolaires. Toute son attention et son énergie est focalisée sur la douleur émotionnelle.
Au contraire quand il dispose d’une bonne intelligence émotionnelle, il se connaît, se comprend, s’exprime, dispose de stratégies (ce que l’on appelle les compétences psychosociales) et peut ainsi gérer ce qu’il ressent pour ensuite mobiliser son attention, sa curiosité, son envie d’apprendre.
Des études (notamment celles de l’université de Yale et de l’équipe CASEL aux États-Unis) montrent un lien direct entre intelligence émotionnelle et réussite scolaire :
📚 meilleure concentration,
📚 plus d’engagement,
📚 moins d’absentéisme,
📚 plus de motivation.
5️⃣ L'Intelligence Emotionnelle prépare l'enfant aux vrais enjeux de sa future vie d'adulte
L’enfance, c’est le moment parfait pour semer les graines des compétences qu’on utilisera… toute la vie. Et l’intelligence émotionnelle en fait clairement partie. Les compétences psychosociales permettent aux individus de vivre avec les autres sans s’oublier soi-même. C’est la partie visible de l’intelligence émotionnelle.
Un enfant qui apprend à gérer ses émotions, à communiquer sans blesser, à écouter sans juger… deviendra un adulte capable de coopérer, de résoudre un conflit, de prendre du recul, de poser ses limites avec respect.
Les compétences psychosociales ne s’inventent pas à 25 ans. Elles se construisent petit à petit, dans les échanges du quotidien, dans la façon dont on parle des émotions en famille notamment, et dont on les traverse.
🌱 En développant l’intelligence émotionnelle de ton enfant, tu l’aides à :
- mieux se connaître ;
- mieux comprendre les autres ;
- et avancer dans la vie avec plus de souplesse, de clarté et de confiance.
Et ça, que ce soit en amitié, en couple, au travail ou dans la parentalité future… ça change tout.
🛠️ Quels sont les 5 meilleurs outils pour développer l’intelligence émotionnelle de ton enfant ?
❤️ 1 - Le meilleur outil: C'est toi !
Avant de parler d’objets, de jeux ou de supports… il faut le dire clairement : le meilleur outil, c’est toi.
Ta manière d’accueillir les émotions, de poser des mots, d’écouter sans minimiser… tout ça, ton enfant l’observe, l’absorbe, le modélise.
Pas besoin d’être parfait. Juste disponible, curieux, parfois vulnérable aussi. C’est cette présence émotionnelle qui fait toute la différence.
Mais bien sûr, certains outils peuvent vraiment t’aider à créer ce terrain de confiance et d’expression. Des supports concrets, qui facilitent les échanges, surtout quand on ne sait pas trop comment amorcer le sujet ou qu’on sent que l’enfant a besoin d’un coup de pouce.
Et voici 4 outils qu’on recommande souvent — parce qu’ils sont simples, efficaces, et qu’ils plaisent aux enfants :
📍 2 - La roue des émotions
Colorée, visuelle, la roue des émotions est facile à utiliser. Elle permet aux enfants de choisir l’émotion qui leur correspond le mieux à un moment donné.
👉 Tu peux l’utiliser comme un rituel (le soir, au retour de l’école), ou simplement la laisser accessible.
Elle aide à passer de « je ne sais pas » à « je crois que je me sens inquiet », et c’est déjà énorme.
👎 Le défaut de ce produit: Son prix ! Quoiqu’il ait déjà été largement amorti (ce produit existe depuis 15 ans environ), il reste à plus de 30€ ce qui – pour deux ronds de carton – est hyper excessif.

📍 3 - Les cartes émotions
Un support à tirer au hasard, ou à choisir selon ce qu’on ressent. On peut inventer une histoire, se rappeler un moment vécu, ou simplement nommer ce qu’on voit.
🃏 C’est doux, sans pression, et ça ouvre de beaux espaces de parole.
📍 4 - Mon Grand Livre de Retour au Calme de Charlotte Uvira
Avec Mon Grand Livre de Retour au Calme on passe au niveau au-dessus. La question n’est plus déterminer exactement ce que l’on ressent mais de développer des stratégies saines qui permettent de passer à la phase de résilience, absolument fondamentale dans le développement e psychoaffectif des individus. Les enfants découvrent une série d’actions, de stratégies, d’activité qui vont leur permettre de laisser passer l’émotion qui les submergent pour se sentir mieux! Les illustrations sont magnifiques et les textes amusants. Un super outil!

📍 5 - Les Kimochis !
Et puis il y a les Kimochis. Ces personnages en peluche avec des émotions à glisser à l’intérieur ne sont pas des jouets même sils y ressemblent.
Ils donnent vie aux émotions, les rendent tangibles, accessibles, jouables. Et surtout, ils créent des ponts entre l’enfant et l’adulte.
👉 On t’en dit plus juste après… parce que c’est un outil vraiment à part.
❌ Pourquoi pas la couleur des émotions ?
En fait, ce livre qui plaît évidemment aux enfants, pose un problème de taille. Il associe les émotions à des personnages. Comme si l’émotion était une identité. Donc – pas de bol – triste ne deviendra jamais heureux. Même si de manière paradoxale il réussit alléger sa souffrance émotionnelle.
Or, les émotions ne sont pas des identités.
On peut tout à la fois se sentir triste et furieux en même temps. Et puis, on est heureux une minute et en colère celle d’après. Chacun le sait et c’est pour cela que le sujet est complexe.
En créant cette confusion identité/ émotions, naturellement l’enfant est pris au piège. Il ne veut pas ressembler à furieux. Il veut s’identifier à heureux (comme avec la météo des émotions... rien de tel qu’un beau soleil ou qu’un arc-en-ciel!). Selon les meilleurs études en santé psychoaffective, nous ne sommes donc malheureusement pas en train de développer l’intelligence émotionnelle avec cet outil, mais on se distrait! 😉
🌟 Pourquoi les Kimochis sont-ils de loin le meilleur programme ?
Les Kimochis: Ludiques mais pas simplistes
Les enfants les adorent parce qu’ils peuvent les manipuler, inventer des histoires, glisser des émotions à l’intérieur…
Mais derrière ce jeu, il y a une structure pédagogique solide, basée sur les recherches en intelligence émotionnelle et en communication bienveillante.
Attention, ici (contrairement à la couleur des émotions):
- Les personnages ne repésentent pas de émotions mais des tempérament. Les tempéraments ont tendance à faire plus ou moins le velcro à certaines émotions plutôt qu’à d’autres mais vivent toute la palette des émotions.
- Nous ne sommes pas en 2 dimensions mais en 3 dimensions. L’aspect kinesthésique est fondamental pour les kimochis. Les émotions se manipulent, se cachent, apparaissent, et les enfants en autorisant leur corps à bouger et à manipuler.
- C’est une méthode sans perdant ni gagnant. Personne n’est meilleur. Tout le monde vit des défis émoitonnels (que l’on soit grand ou petit) et toute notre vie nous devons travailler sur nos émotions. C’est un pilier des kimochis !
Les Kimochis: Des compétences psychosociales renforcées
Le programme cible clairement les compétences psychosociales – ce qu’on appelle SEL (Social‑Emotional Learning) – comme la conscience de soi, la tolérance, l’autorégulation, la communication non-violente et l’empathie . Tous des piliers de la vie relationnelle et scolaire.
Le programme Kimochis travaillent profondeur l’acquisition des compétences psychosociales par les enfants, en les expliquant de manière expérientielle et en les mettant en pratique pendant des micro-ateliers. Les 4 axes sont:
-
Identifier et nommer les émotions
Grâce aux coussins émotions (frustration, fierté, honte, joie, etc.), l’enfant apprend à mettre des mots précis sur ce qu’il ressent. -
Comprendre les conséquences de ses actes et paroles
Chaque personnage Kimochis vit des situations qui permettent d’explorer l’impact de nos comportements sur les autres. -
Développer des comportements prosociaux
Les enfants découvrent comment coopérer, réparer un conflit, faire
Kimochis: Les 5 clés de communication Kimochis
Le programme Kimochis est le seul à insister sur le fait qu’être en relation et donc avoir des compétences psychosociales de qualité, repose sur 2 piliers:
- l’intelligence émotionnelle de l’enfant
- la capacité à communiquer.
C’est la raison pour laquelle une communication verbale, non verbale, paraverbale ajustée doit être travaillée avec l’enfant. cela se fait par l’intermédiaire de l’acquisition des 5 clés de communication des Kimochis:
-
🔑 Obtenir l’attention de quelqu’un avant de lui parler
➤ Parce que pour se sentir écouté, il faut d’abord s’assurer que l’autre est disponible. -
🔑 Un visage calme et un corps qui parle (et non qui tape)
➤ Les gestes parlent autant que les mots. On apprend à se réguler physiquement avant de s’exprimer. -
🔑 Une voix qui parle (et non qui tape)
➤ Le ton compte. Parler fort, crier ou bouder, ce n’est pas la même chose que parler avec respect. -
🔑 Des mots qui aident (et non qui blessent)
➤ On apprend à dire ce qu’on ressent sans attaquer. Parce que l’objectif, c’est de se faire comprendre, pas d’avoir raison. -
🔑 Le droit de recommencer si on s’est mal exprimé
➤ Parce qu’on ne réussit pas toujours du premier coup… mais on peut toujours réessayer.
Ces clés, répétées, modélisées, intégrées dans le jeu et les échanges du quotidien, permettent aux enfants de gérer leurs émotions, d’améliorer leurs relations, et de prendre confiance en eux.
Tu es prêt.e à donner toute ton attention au développement de l’intelligence émotionnelle de ton enfant et de ses compétences psychosociales ? Tu as raison et nous allons à présent te donner quelques idées !
🏠 7 idées simples et efficaces pour développer l’intelligence émotionnelle à la maison
Tu n’as pas besoin de tout révolutionner. Il suffit souvent de petits gestes répétés, glissés dans la routine familiale, pour aider ton enfant à mieux vivre avec ses émotions. Voici 7 idées toutes simples, à piocher selon ton rythme, ton style… et l’âge de ton enfant.
🎧 1. Créer des moments d’écoute active
Accorde quelques minutes où tu écoutes vraiment, sans couper, sans corriger, sans conseiller. Juste pour que ton enfant sente : “ce que je ressens a de la valeur”.
Tu peux dire : « Je t’écoute, dis-moi ce que tu as sur le cœur. »
🎡 2. Utiliser les outils que nous t’avons présentés
N’hésite pas à utiliser ces outils qui peuvent libérer la créativité autant que la parole. Cependant rappelle-toi que ce qu sera déterminant pour ton enfant sera de te voir les utiliser pour toi-même et de le soutenir dans leur utilisation.
⏰ 3. Instaurer un petit rituel émotion
Chaque jour, même 2 minutes : « Quelle émotion t’a accompagné(e) aujourd’hui ? » ou « De quoi es-tu fier ? » Ça aide à mettre des mots, et à relire la journée avec plus de conscience.
🎭 4. Jouer à des jeux de rôle
Fais semblant d’être en colère, triste, apeuré·e… et demande-lui de deviner, ou de te proposer une réaction adaptée. L’air de rien, ça développe empathie, observation et communication.
📚 5. Lire des histoires et parler des émotions ressenties
Dans toute histoire Il y a le début où tout va bien. Puis des problèmes apparaissent et le personnages vivent quantité d’émotions qui vont les amener à adopter certains comportements. Les problèmes vont empirer mais à un moment l’espoir, le courage, la justice vont parler et mener à la solution de tous les problèmes et à des apprentissages (souvent une morale de l’histoire= Pas la peine d’acheter un livre spécifique, toutes les bonnes histoires sont basées sur ce élan. Alors quand tu lis une histoire à ton enfant, questionne-le simplement: « A ton avis, comment se senti-il avec ce qui vient de se passer ? » « Moi à sa place, je me sentirais ….. et toi, tu te sentirais comment ? ». « Le problème c’est que souvent quand on se sent comme ça, on a tendance à …. et ça empire les choses!!! Qu’est-ce qu’il devrait faire pour ne pas empirer les choses ? », « Oui, mais c’est pas facile, parce qu’il y a toutes ces émotions… »
💬 6. Valoriser toutes les émotions, même les moins agréables
Plutôt que de dire « Ne sois pas triste », essaye : « C’est normal de se sentir triste dans cette situation. Est ce qu’un câlin pourrait te faire du bien? »
Tu montres que chaque émotion a sa place, sans jugement ni rejet. Et tu enseignes des stratégies saines consistant en un rapprochement social positif (solidarité, entraide, réconfort, écoute…) quand une émotion est vécue.
🎨 7. Proposer le dessin ou l’écriture comme moyen d’expression
Un dessin pour dire la colère, une lettre pour dire un chagrin, un jeu de palymobil pour remettre en scène ce qui s’est passé et explorer les émotions et comportements… C’est souvent plus facile pour l’enfant de passer par le geste que par la parole.
Tous ces petits gestes du quotidien créent un terrain fertile pour que ton enfant apprenne à se connaître, à mieux interagir, et à traverser la vie avec un peu plus de solidité intérieure.
Conclusion
L’intelligence émotionnelle n’est pas un luxe. C’est une compétence essentielle, qui influence le bien-être, les relations, les apprentissages et l’avenir de ton enfant. En l’aidant à reconnaître, comprendre et exprimer ce qu’il ressent, tu lui donnes les clés pour grandir en confiance, en lien, en paix avec lui-même.
Et pour ça, tu n’es pas seul·e. Des outils existent. Et parmi eux, les Kimochis se distinguent comme une approche ludique, structurée, validée, qui transforme réellement la façon dont les enfants vivent leurs émotions.
Chaque semaine, des centaines d’enfants participent à des ateliers Kimochis partout en France. De plus en plus de professionnels se forment, et une simple recherche sur Internet suffit pour trouver un atelier près de chez toi.
Et si tu veux te former à ton tour pour offrir aux enfants cette approche incroyablement riche, l’École des Formations Positives est là pour t’accompagner. Que tu sois parent, professionnel de l’enfance ou en reconversion, tu y trouveras une formation complète, humaine, et profondément alignée avec les besoins des enfants d’aujourd’hui.
✨ Offrir les Kimochis, c’est offrir aux enfants bien plus que des outils : c’est leur offrir la possibilité de se construire en harmonie avec eux-mêmes et avec les autres.
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